• Tout ce que tu fais, je le ferai.
    Apprends-moi ce que je n' connais pas !
    Tout ce que tu sais n'est rien encore pour moi.

    Il y a tant de choses à savoir,
    Semblant si près, pourtant si loin.
    Je me vois comm' les autres me voient,
    Mais il y a quelque chose plus grand là-bas...

    Je veux savoir, montre-les-moi,
    Ces étrangers qui seraient faits comme moi.
    Apprends-moi, montre-les-moi,
    Ces inconnus qui seraient pareils à moi.

    Tout ces mouv'ments, tous les gestes qu'elle fait,
    Me font des frissons dans le corps.
    Pourquoi je sens ce besoin d'être toujours près d'elle ?

    Toutes ces émotions nouvelles
    D'un monde nouveau loin, très loin d'ici.
    Au-delà des arbres et des nuages,
    Je vois devant moi un autre horizon.

    Je veux savoir, montre-les-moi
    Ces étrangers qui seraient faits comme moi.
    Apprends-moi, montre-les-moi
    Ces inconnus qui seraient pareils à moi.

    Viens voir ce monde qui est le mien.
    Il est plus beau que dans tes rêves.
    Ressens-tu ce que mon coeur ressent pour toi ?
    Prends ma main, vers ce monde que je veux voir

    Je veux savoir, montre-les-moi
    Ces étrangers qui seraient faits comme moi.
    Apprends-moi, montre-les-moi
    Ces inconnus qui seraient pareils à moi.
    Je veux savoir !


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  • Crois en ce qui compte le plus pour toi,
    Deux mondes, une seule famille.
    Laisse ton coeur
    Et le destin guider toutes ces vies !

    Un paradis vierge des hommes,
    Dans un monde fait d'amour,
    Leur vie est simple,
    Ils vivent en paix.

    Marche sur le chemin de sable fin,
    Deux mondes, une seule famille.
    Laisse ton coeur
    Et le destin guider toutes ces vies !

    Cachés au coeur de la forêt,
    Où seul l'amour peut entrer,
    Leur vie est simple,
    Ils vivent en paix.

    Lève la tête,
    Porte ton fardeau,
    Puise ta force en ceux qui t'aiment.
    Construis des murs
    Solides et hauts.
    Une nouvelle vie t'attend
    Où le danger vient rôder...
    Les mots ne sèchent pas les pleurs,
    Les mots ne réparent pas les coeurs,
    Le rêve s'endort
    Mais pas l'espoir.

    Là-bas, entends la voix qui t'appelle,
    Deux mondes, une seule famille.
    Laisse ton coeur
    Et le destin guider toutes ces vies !

    {reprise:}
    C'est la force de ce lien qui nous lie.
    Deux mondes, une seule famille.
    Laisse ton coeur
    Et le destin guider toutes ces vies !

    {Final:}
    [Chanteur et choeur]
    Crois en ce qui compte le plus pour toi,
    Deux mondes, une seule famille.


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  • Tu veux le pouvoir d'être un fort,
    Et la sagesse d'être un sage,
    Un jour tu auras tout ça en toi.

    Tu trouveras dans ton long voyage,
    Les réponses que tu cherchais,
    Car si tu gravis la montagne,
    Tu atteins son sommet.

    Enfant de l'Homme regarde au ciel.
    En élevant ton esprit,
    Tu atteindras l'arc-en-ciel,
    Enfant de l'homme tu deviendras un Homme !

    Laisse ton cœur guider ton chemin,
    Oui pour tendre ta main,
    Mais si la foi en toi résonne,
    De l'enfant tu feras un Homme !

    Enfant de l'Homme regarde au ciel.
    En élevant ton esprit,
    Tu atteindras l'arc-en-ciel,
    Enfant de l'Homme tu deviendras un Homme !

    Découvriront ton nom et ton air étonné,
    Tu trouveras ta place au cœur des tiens.
    Toutes les visions, les idées, les rêves que tu as faits,
    Les plus secrets de tes désirs,
    Vont bientôt t'appartenir !

    Enfant de l'Homme regarde au ciel.
    En élevant ton esprit,
    Tu atteindras l'arc-en-ciel,
    Enfant de l'Homme tu deviendras un Homme !

    Enfant de l'Homme, enfant de l'Homme, pour tous tu seras un Homme !


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  • [Gaston]- A quoi bon, çà ne sert à rien,
     - Je suis ridiculisé !
     
    [Le Fou]- Qui ... toi ? Jamais Gaston !
     - Faut pas te laisser abattre, t'as plus d'une corde à ton arc.
     J'aime pas quand t'as l'air malheureux Gaston,
     Et complètement raplapla.
     (D'un coup de poing, Gaston l'envoie voler sur la table d'un groupe de clients)
    [Le Fou]Tout le monde voudrait être dans ta peau, Gaston,
     Même quand c'est pas la grande joie.
     De tout le village, c'est toi le chouchou,
     C'est toi le préféré de la bande.
     Toutes les femmes devant toi sont à genoux
     Et c'est pas difficile à comprendre ...
     (Trois filles blondes tombent à ses pieds)
    [Le Fou]Le plus beau, c'est Gaston,
     (Le Fou retire la ceinture d'un client accoudé au bar ... son pantalon tombe)
    [Le Fou]Le plus costaud, c'est Gaston,
     Et personne n'a un cou de taureau comme Gaston.
     (Le Fou serre la ceinture autour du cou de Gaston, comme un collier de chien)
    [Le Fou]Un caïd qui a du chien et des manières,
     (Rien qu'en gonflant son cou, Gaston déchire ce collier improvisé)
    [Le Fou]Et du chic et de la prestance.
     Demandez à Tony, Dick ou Norbert,
     Ils vous diront tout de suite sincèrement ce qu'ils en pensent.
     
    [Les Clients]Le plus chouette, c'est Gaston,
     La vedette, c'est Gaston !
     
    [Le Fou]Et personne n'a comme lui une fossette au menton.
     
    [Gaston]J'ai un corps d'Apollon, du plomb dans la tête !
     
    [Les Clients]Ah, quel champion ce Gaston !
     
    [Les Clients]Hip-Hip Hourra, Hourra Hip-Hip !
     
    [Le Fou]Gaston, sept sur sept,
     Tout le reste vaut tripette.
     
     (Le Fou vide, par mégarde, sa bière dans le visage de Gaston)
     (Gaston le propulse d'un coup de poing à l'autre bout de la salle)
     
    [Les Clients]Le plus fort, c'est Gaston,
     Le plus sport, c'est Gaston.
     
    [Norbert]Quand tu le mets sur un ring,
     Personne mord comme Gaston !
     
    [Les 3 Filles blondes]C' qu'il est grand, c' qu'il est beau et bien bâti.
     
    [Gaston]Çà c'est pas du biceps en papier !
     
    [Le Fou]Il n'est pas rabougri, ni riquiqui.
     
    [Gaston]C'est vrai ! Et mon torse velu fait ma célébrité !
     
    [Les Clients]Le plus classe, c'est Gaston,
     Le plus coriace, c'est Gaston.
     
     (Perplexe devant un échiquier, il balaye le jeu d'un revers de main)
     
    [Le Fou]Au concours de crachats, personne crache comme Gaston !
     
     (Gaston arrache un morceau de "son collier" avec les dents et la mastique)
     
    [Gaston]Je suis vraiment très doué en expectoration...
     
     (Gaston crache le bout de cuir qui tombe dans le crachoir après plusieurs ricochets)
     
    [Les Clients]C'est bon mon Gaston !
     
     (Gaston jongle avec une douzaine d'oeufs, les jette en l'air et les avale)
     
    [Gaston]Quand j'étais petit, je gobais quat' douzaines d'oeufs,
     Pour être fort, pour me sentir à l'aise.
     Maintenant qu' je suis grand, j'en avale quarante-neuf,
     C'est pour çà que je suis le Roi des balèzes !
     
     (Le Fou essaye de jongler mais tous les oeufs lui retombent dessus)
     
    [Les Clients]Personne vise comme Gaston,
     Personne frise comme Gaston.
     
    [Le Fou]Et personne n'a les bottes ni les chemises de Gaston.
     
     (Gaston s'installe dans "son" fauteuil face à "son" mur)
     
    [Gaston]Je collectionne les trophées, j'en ai plein la maison !
     
    [Les Clients]C'est toi le champion ... Gaston !
     
     
     
     
     
    [Gaston]- Ce vieux fou de Maurice ?
     - Hummm ...
     - Ce vieux fou de Maurice !
     
    [Gaston]Pour la première fois j'ai une idée !
    [Le Fou]Y'a pas pire pour un homme...
    [Gaston]Je sais !
     Mais le père de Belle est un vieux farceur,
     Qui a souvent des idées très toc-toc !
     Dans ma petite tête, çà tourne comme une toupie,
     Depuis que j'ai vu ce vieux sacripant !
     Je me suis bien promis que j'épouserai Belle,
     Et pour çà j'ai monté tout un plan !
     - Imagine ...
     
    [Le Fou]- Oui !
    [Gaston]- On pourrait...
     
    [Le Fou]- Non, tu crois ?
    [Gaston]- Et je l'ai !
    [Le Fou]- Çà y est, j'ai compris !
    [Gaston et le Fou]- En choeur !
     Personne joue comme Gaston...
    [Gaston]N'est filou comme Gaston !
    [Le Fou]Personne ne persécute les vieux fous, comme Gaston.
    [Les Clients]Et bientôt nous fêterons ses épousailles !
     C'est toi le champion, Gaston !

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